Jesus MESAS

Papé,

Tu fais partie de ces êtres qui traversent la vie en semant autour d’eux la bonté, la générosité et la tendresse.

Ton cœur était immense, toujours prêt à donner, à réconforter, à accueillir chacun sans jugement ni réserve.
C’est cette bonté, cette humanité profonde, que je retrouve aujourd’hui dans le regard de ma maman et de ma sœur de cœur.

Je suis heureux d’avoir été accueilli comme un membre à part entière, avec la tendresse et la simplicité qui te caractérisent.
Elles portent en elles le plus bel héritage : celui de l’amour, de la douceur et de la main tendue à l’autre.

À toi, Papé, à Valérie, à Maëva, et à tous ceux — ici et au-delà — membres de cette famille particulière, je veux dire ma gratitude, mon respect et ma profonde affection.
Puisse ta lumière continuer à nous accompagner, à nous inspirer et à veiller sur nous, comme tu l’as toujours fait.

Avec tout mon cœur.

Toutes mes condoléances les plus sincères. Qu il repose en paix.
De tout coeur avec vous.
Je vous serre fort😘

Tu étais mon parrain, même si je continuais à t’appeler « Tonton Jésus ».

Il suffisait de t’entendre parler pour que tous ces doux souvenirs refassent surface :
l’Estaque, Maryse, le restaurant « Le Français », votre petite maison perchée là-bas… et notre enfance, pleine de rires et de chaleur.

Malgré la distance et la maladie, tu demandais toujours des nouvelles de moi et de Céline,
toujours avec ta bonne humeur et cet accent marseillais si typique, si rassurant, qui te définissait pour nous tous.

C’était toujours un vrai plaisir de discuter avec toi.

Repose en paix, de là où tu es. Veille sur nous tous.

Haut les cœurs, Tonton.

S'appeler Jésus et être communiste... Quel est le scénariste qui aurait pu inventer cela? Je t'ai connu au moment de mon mariage avec Françoise dans les années 80 et j'ai toujours été frappé par tes qualités humaines, ton écoute et ton empathie. Nous n'avions pas souvent la chance de nous voir, mais lorsque tu nous appelais, c'était véritablement pour avoir des nouvelles des autres et non pour parler de toi que tu prenais le téléphone.
Le grand âge s'installait mais tu t'efforçais toujours d'être joyeux et positif, réservant tes piques au personnel politique qui te décevait de plus en plus.
Je sais que Valérie, que nous avons eue au téléphone, a ce même don pour l'empathie et ces mêmes qualités humaines que toi. Elle a assuré avec vaillance et dignité ton grand départ.
Ostreopsis, cette maudite algue qui sévit actuellement sur la Côte basque, m'a intoxiqué et m'empêchera d'être présent pour la cérémonie d'adieu, ce qui me peine profondément.
Je n'étais qu'une pièce rapportée de la famille, mais je t'appréciais particulièrement, Jésus.